Tout histoire a un début, et pour la plupart nous cherchons tous un début original a la notre, hors pourquoi essayer d'être différent ? Nous sommes tous pareil, tous égaux, avec le même but dans une vie non ? Nos désirs ne sont-ils pas communs ? Nos vies ne sont jamais simple, seulement la difficulté n'a jamais vraiment eu de départ, la difficulté à toujours été celle d'admettre que nous avons tous eu un jour la chance, de trouver notre but, ou même la possibilité de l'apercevoir, hors la peur de l'inconnu nous freine dans ce chemin. La peur, de savoir, de connaître, d'être. Je suis sur que vous l'avez déjà connu. Ce n'est pas difficile, il faut juste l'admettre. C'est un fait, comme celui d'être née le 14 février 1990 , vous savez ce jour que des milliers de célibataires maudissent ? La saint Valentin, heureux pour moi je ne m'appelle Valentin mais Maël Nicola Macini. J'ai échappé de peu a Valentino, vous l'avez remarqué je suis d'origine italien, mais je suis né en Italie, jusqu'à mes trois ans j'ai habité en Italie, mes parents sont ensuite partis en USA, avec moi bien sur. Depuis je parle l'italien et l'anglais. C'est un avantage, certes enfin, il n'a pas que des avantages dans ma vie, quand je suis arrivé aux USA, l'intégration selon ma mère, à été vraiment difficile, puisque ne pas connaître un seul mot d'anglais ça ne m'avait vraiment pas aider, alors j'avais appris en écoutant, et j'apprenais plutôt vite, étant petit je comprenais mieux et j'apprenais mieux aussi. Après un an, j'avais enfin pu m'intégrer auprès d'autres enfant, j'avais des résultats plutôt bon, rien d'un génie et non plus d'un nul, j'étais dans la moyenne. Mon père et ma mère en ce temps s’engueulaient énormément, j'étais presque à croire qu'ils allaient divorcés hors non, ils sont restés ensemble, mais je crois que pendant quelques jour mon père était parti, j'étais bien sur trop naïf et petit pour comprendre, tout ce dont je me souviens c'est que ma mère avait énormément pleurée, ça me fendait le cœur de la voir ainsi, alors j'allais la réconforter du mieux que je pouvais pour une enfant de mon âge, même si ça ne marchait pas toujours, elle souriait et me disait sans cesse d'être un bon fils, de ne jamais la décevoir, que j'étais bien le seul qui ne lui avait rien fait, encore. Lorsque j'avais environ huit ans, je crois un problème, qui n'étais pas tellement grave survenue non enfaite deux, ma mère était de nouveau enceinte et la masse de cheveux que j'avais sur le crâne commençait sérieusement a me poser problème puisque me coiffer devenait dangereux, je crois bien que j'ai du casser quelques peignes, enfin revenons a ce «  problème » . Ma petite sœur car oui cela faisait déjà quatre mois qu'elle était enceinte et qu'elle ne le savait pas, on appelle ça un déni de grossesse, et après quatre mois, je ne sais comment elle l'a sue, et hop, une petite sœur, je n'avais pas tout compris, mais ce que je remarquais c'est que ma mère était de plus en plus fatiguée, donc je l'aidais absolument pour tout, même mon père le faisait, elle ne s'en plaignait pas du tout à vrai dire . Jusqu'au jour où mon père l'emmena a l'hôpital, c'était en semaine et j'étais allait a l'école , le soir quand je suis revenue mon père m'emmena la voir, ma mère et ma petite sœur, ils l'avaient appelés Valentina Soleen Macini, heureusement ce prénom était tombé sur elle, merci seigneur de m'avoir épargné ça. Au début cela faisait énormément bizarre de la voir toute petite comme ça, je trouvais ça vraiment moche, et puis finalement plus le temps passait, mieux ça allait, ça ressemblait plus à un être humain qu'autre chose. Je l'avais adopté, et comme tout grand frère de la protéger. Ce fut ensuite le temps d'entrée dans les années que tout adolescent déteste plus que tout au monde, vous savez ce truc qu'on appelle … P-U-B-E-R-T-E , horrible soit disant passant, à vrai dire j'avais compris qu'il fallait que je change de «  visage » j'ai pas de chirurgie je vous rassure, j'étais pas moche a ce point, c'est même le contraire enfin, le petit garçon adorable devait laisser place a l'ado bien sur, j'étais pas non plus un délinquant et violent homme mais les conneries à vrai dire je les collectionnait, elles n'étaient pas énorme mais à force de les tasser, ça faisait gros. Je sortais avec des amis au début, ensuite on passe dans des boîtes de nuit sans avoir l'âge, et on commence a se prendre sa première cuite, sa première conquête – très nulle soit disant passant – et les sorties s'enchaînent, et elles les notes scolaires elles montent pas par magie, j'ai donc commencer a développer la technique de faire le mur. Au début c'était pas évident mais après on s'y fait, j'avais quinze ans et ma sœur sept ans , vous savez quoi ? Ma sœur était atteinte d'une maladie mentale, elle avait des hallucinations, parfois extrêmement dangereuse. Au début, on ne me l'avait pas dit pour ne pas me brusquer , mais ils ont du me l'avouer quand ils ont dus l'emmener faire des tas d'examens, ça ne changeait pas vraiment la manière dont je l'aimais c'était quoiqu'il arrive ma petite sœur. Quand à mes parents, le nombre de morales que j'ai du subir sont incalculables. Je crois que j'ai du rentrer dans le tableau des records, avec ça. Mon métier je l'avais choisis, infirmier, je voulais absolument être infirmier dans un hôpital psychiatrique pour aider des gens comme ma sœur, et je m'étais promis de le faire, de faire ses études, ce que je fis, je pris cette direction. Un an après, je rencontra Arizona, une fille ? Oui. N'importe laquelle ? Non. Je dois vous raconter ça, ça à était la seule qui a réussi à me rendre vraiment heureux avant.. quelque chose, bref avant de tomber dans la dépression on va commencer par le début de l'histoire. Notre rencontre à était assez spécial, c'était dans une soirée comme toutes les autres, je l'avais choisi pour la soirée, et à vrai dire j'avais bu, un peu trop ? Jamais voyons. Mon langage à était trop brute, mais elle était tellement belle, j'avais fait du mieux que je peux – bourré évidemment – sauf que elle semblait pas tellement sous le charme, alors pendant des jours je l'ai cherché, après des tentatives de la retrouver a une soirée, je la trouva enfin, sobre cette fois-ci et je m'excusa, de mon comportement, complètement nul et l'invita à boire un verre. La vérité ? L'idée que j'avais au départ je l'avais encore, mais ce soir là, je n'avais rien fait, du moins avec elle, et pendant plusieurs semaines je la voyait, on parlait, et finalement j'étais tomber amoureux sans le savoir, étrange ? Oui, original ? Oui, j'étais heureux ? Presque. Je lui demanda donc si on pouvait être ensemble, elle accepta à ma plus grande joie, et pendant deux ans notre relation dura, c'était vraiment quelque chose d'unique, d'indescriptible, Arizona ne m'avait pas changée, elle m'avait réparée. Comment tout cela c'était terminer ? Je l'ai trompé ? Perdu. Une chose que changea ma vie, ma sœur s'était suicidée, je devais partir la voir, au plus vite, c'était très loin, et je ne pouvais pas rester avec Arizona je devais la quitter, je ne le fit pas au téléphone heureux pour moi mais, je lui avait dit les raisons, et j'étais parti, me maudissant, je n'avais pas fait mon rôle de grand frère, j'aurais du la protéger hors, je n'avais penser qu'à moi, à ma personne, je l'avais laissé, et par ma faute elle n'était plus là, ce mal me rongea, tellement que je devais rattraper mes erreurs, et absolument me faire pardonner, je m'en voulais tellement, je l'avais abandonner, j'étais indigne de vivre, elle aurait du être à ma place et j'aurais dut endurcir son rôle, rien n'était juste, rien n'étais faux et pourtant, je me sentais inutile, sans rien qu'avais-je apporté à mon entourage ? La déception auprès de ma mère, je pouvais rattraper mes erreurs, je le devais c'était une nécessité, vivre avec ça ? J'ai appris, maintenant je dois donner ce que j'ai, ce que je sais. S'en était fini les soirées, a la va vite, les études étaient ma priorité, et je devins ce que je suis aujourd'hui, ce que je voulais être j'avais saisis ma chance, celle d'être. A 21 ans, il n'était pas plus facile de vivre avec ça sur la conscience, mais on survit comme pour le reste, depuis elle, je ne suis plus heureux, ma mère est devenue fière de moi, ainsi que mon père, j'avais cependant détruit une relation a laquelle je tenais, et laisser une vie s'échapper, j'ai encore beaucoup de choses à rattraper, et je compte bien le faire. Pour elles, je le ferais jusqu'au bout.